J’ai toujours trippé fort sur les Jeux Olympiques. Je me souviens que ma mère et moi écoutions les jeux de Lillehammer tôt le matin en démarrant notre journée. Je me rappelle bien sûr du scandale Harding vs Karrigan, mais aussi des succès de Myriam Bedard et de Jean-Luc Brassard, le roi des bosses. J’ai un vague souvenir des casquettes à palettes en suède de McDonald's.
Avec le temps, je suis devenue une vraie fan et j’ai développé mes connaissances en sports d’hiver. Je ne suis pas encore une Paul Houde, mais je connais les disciplines et nos athlètes canadien.ne.s ; et je suis pas mal fière du succès que l’on commence à récolter. Bon, c’est loin d’être tout rose le milieu olympique (scandale financier, agressions sexuelles et dopage font souvent manchettes). Néanmoins, j’ai envie de célébrer ces personnes qui consacrent leur vie à réaliser leurs rêves.
Cette année, je serai loin de ma maman et de la couverture télévisée de Radio-Canada (qui, à mon avis, est la meilleure dans cette catégorie). Je vais tenter d’écouter des postes canadiens (vive Internet!), mais sinon je devrai me rabattre à regarder la BBC et leurs moins bons athlètes britanniques.
De plus, avec des amis Canadien.ne.s, on a prévu aller encourager notre équipe au Maple Leaf, le pub canadien de Londres. Pour bien représenter mon pays d’origine, j’ai décidé de me procurer un chandail aux couleurs de l’équipe canadienne. J’aime beaucoup la collection de Roots qui est fabriquée au Canada ainsi que la Collection officielle de La Baie (qui verse 10 % des recettes à notre équipe olympique). J’ai un kick sur les mitaines brodées d’une feuille d’érable depuis Vancouver 2010, mais comme il ne fait pas très froid à Londres et que je veux afficher mes couleurs au bureau (j’ai fait des paris avec mes collègues huhu), je me cherche donc un t-shirt. Et O.M.G. que j’adore les joggings : si seulement je pouvais en porter au bureau!
Les deux collections offrent des looks un peu vintage et assez intemporels en même temps. Et puis, les couleurs du Canada sont faciles à agencer, innit? Ne me reste plus qu’à admirer mes athlètes préféré.e.s – hurler devant mon téléviseur plutôt – et vous pouvez compter sur moi pour vanter les exploits de nos athlètes à qui veut bien l’entendre.
